Migration de site SEO : la checklist complète pour ne pas se rater !

Migration de site SEO

Il n’y a rien de pire que de voir son site web nouvellement remis au goût du jour s’effondrer en termes de positions dans les moteurs de recherche, et de voir son trafic et ses conversions en chute libre quelques jours après avoir cliqué sur le bouton “publier”. 

Et pourtant, cela arrive bien trop souvent !

La partie SEO de la migration d’un site web est trop souvent laissée de côté, alors qu’elle devrait posséder une place tout à fait centrale dans votre projet.

Une migration d’un site nécessite une recherche, une planification, une exécution et un suivi rigoureux pour s’assurer que votre site puisse conserver autant de visibilité organique que possible. 

Une migration à effectuer ? Bénéficiez de l’aide d’un expert SEO !

Si vous prenez le problème par-dessus la jambe, ou que vous attendez la fin de la migration pour vous soucier de connaître votre référencement Google, c’est la dégringolade assurée !

Heureusement, pour éviter le déclassement de votre site et pour attaquer sereinement la migration à venir, je vous ai préparé une checklist, que voici : 

Ma checklist complète pour réussir sa migration de site SEO


☐ Planifier la migration

☐ Choisir une date de migration

☐ Sauvegarder le site

☐ Créer un site test

☐ Effectuer un audit des backlinks du nouveau domaine

☐ Crawler le site

☐ Prioriser l’importance SEO des URLs à rediriger

☐ Mettre en place un plan de redirection 301

☐ Mettre à jour les liens internes 

☐ Créer une page d’erreur 404 personnalisée

☐ Mettre à jour Google Business Profile (Google My Business)

☐ Mettre à jour le sitemap.xml

☐ Indiquer le changement de domaine à la Google Search Console

☐ Mettre l’accent sur l’UX mobile

☐ Migrer ou ajouter des balises schema.org

☐ Mettre à jour le fichier robots.txt

☐ Mettre à jour les backlinks

☐ Garder le contrôle de l’ancien domaine

☐ Effectuer un audit SEO avant et après la migration

☐ Mesurer les performances après le lancement

Détaillons-la à travers cet article !

Qu’entend-on par “migration de site web” ?


Une migration, cela peut vouloir dire plusieurs choses ! Voyons tout d’abord les différents types qui existent : 

Type de migrationExplication
ProtocoleChangement du protocole de votre site web, qui passe de http à https.
Sous-domaineChangement de l‘adresse de votre site web de “https://votresite.com” à “https://sousdomaine.votresite.com”.
DomaineChangement de l’URL de votre site Web de https://votresite.com à https://votrenouveausite.com
Domaine de premier niveauChangement l’URL de votre site web de .fr à .com, .net, etc. 
Système de gestion de contenu (CMS)Déplacement de votre site web de votre CMS actuel vers un nouveau, par exemple de Wix vers WordPress.
Refonte de siteApport de modifications qui vont de petits changements esthétiques à une refonte complète du site web, avec des changements majeurs de code, par exemple.
Refonte structurelleModification de l’architecture ou de la structure URL du site web.
Refonte hybride, combinaison de refontesCombinaison d’une ou de plusieurs des migrations détaillées ci-dessus

Ainsi, lors d’une migration, un site web subit des changements substantiels d’URL, de structure, de contenu, d’UX, de design ou encore de CMS. 

Ces changements sont souvent effectués pour le mieux : on souhaite un site plus à la page, mieux organisé, ou encore plus rapide. Néanmoins, en apportant son lot de changements au site, c’est le référencement naturel de ce dernier qui risque d’être perturbé, surtout si vous ne vous faites pas accompagner par un consultant SEO expérimenté

Quel rapport entre migration de site web et SEO ?


Quand on effectue une migration SEO, on essaie simplement d’accompagner les changements à venir sur votre site sans qu’ils nuisent à votre référencement.

Mais, quel rapport peuvent bien avoir le SEO et ces changements apportés à un site ? Voyons cela !

Pourquoi faut-il prendre en compte le référencement lors d’une migration de site ?

Au fil du temps, votre site a acquis une visibilité organique qui vous a permis d’apparaître sur les résultats de recherche, en fonction des mots-clés que vos clients potentiels et les internautes utilisent pour le trouver. 

Lorsque vous modifiez vos URL, votre contenu et l’ensemble de votre site web, vous modifiez ce que les moteurs de recherche savent de votre site et les paramètres qu’ils ont appliqués pour vous classer. 

Une migration SEO complète garantit que ces modifications ne soient pas perçus par Google et les moteurs de recherche, afin que votre site ne pâtisse d’aucun effet négatif.

Que se passe-t-il si vous n’incluez pas le référencement dans votre stratégie de migration de site web ?

Pour dire les choses clairement, vous risquez de perdre votre classement dans les moteurs de recherche, votre trafic et vos clients potentiels. 

Rien que ça !

La migration est donc un événement absolument crucial dans la vie de votre site Internet, et ne doit pas être prise à la légère. Pour éviter de perdre vos positions organiques et pour vous assurer une migration maîtrisée, je vous propose mes services. Discutons-en ensemble ! 

Pour une migration SEO sans prise de tête, c’est par ici !

Passons désormais à la fameuse checklist…

Checklist ultime de la migration SEO : 20 points à contrôler pour la réussir


En suivant chaque étape de cette checklist minutieusement, votre migration devrait n’avoir aucun impact sur votre SEO, et elle devrait même avoir un effet bénéfique de ce côté.

En fonction de l’objectif de votre migration et du temps dont vous disposez, tous les éléments de la liste de contrôle ci-dessous peuvent être appliqués pour garantir une migration réussie.

1) Planifier la migration

La première étape de toute migration de site web est la planification. Il s’agit de 

  • Fixer des objectifs clairs pour la migration ;
  • Constituer une équipe projet ;
  • Créer un calendrier détaillé, avec jalons et diagramme de GANTT si possible.

Votre plan doit décrire clairement chaque étape du processus de migration, depuis la sauvegarde de votre site actuel jusqu’au contrôle des performances après la migration. 

Il est également important de communiquer votre plan à toutes les parties prenantes, de veiller à ce que toutes les équipes communiquent étroitement et comprennent clairement leur rôle dans le projet, et de mettre en place une interface de suivi. 

Cela est particulièrement crucial pour les équipes chargées du référencement, les développeurs web, les chefs de projet et les équipes chargées du contenu.

2) Choisir une date de migration 

Choisissez la date qui convient le mieux à votre équipe et au trafic de votre site web, après avoir estimé le temps que devront prendre chacune des tâches.

Choisissez un jour et une heure où le trafic et l’engagement sont faibles. 

Aussi tentant que cela puisse paraître, essayez d’éviter les week-ends, qui peuvent entraîner des problèmes de coordination et de communication. 

Privilégiez les lancements dans l’après-midi ou en début de soirée, au cas où des problèmes inattendus surviendraient, et vous amèneraient aux premières heures du matin, lorsque le trafic est faible.

3) Sauvegarder le site

Il s’agit d’un point crucial : créez une sauvegarde de votre site web afin de pouvoir revenir à l’ancien site si le lancement ne se déroule pas comme prévu. 

Prenez le temps de vous asseoir avec les parties prenantes en interne afin d’élaborer un plan de retour en arrière au cas où vous auriez besoin de revenir à l’ancien site web, si un problème survenait.

4) Créer un site test

Un site test est une version dupliquée de votre nouveau site web que les utilisateurs ne voient pas ; c’est sur celui-ci que vous pouvez tester les changements que vous apporterez à votre site réel. 

En créant un site test, vous donnez à votre équipe tout le temps nécessaire non seulement pour revoir l’apparence du contenu et le fonctionnement du site web, mais aussi pour tester et mettre en œuvre les redirections 301 des URLs avant la mise en ligne. Ce faisant, moins de mauvaises surprises peuvent arriver.

Un gain de temps considérable : ce faisant, vous n’aurez plus besoin de mettre à jour les URLs de vos liens internes ni vos sitemaps à de multiples reprises avant et après le lancement du site.

5) Effectuer un audit des backlinks du nouveau domaine

Si vous effectuez une migration de domaine, vérifiez la santé SEO du domaine vers lequel vous prévoyez de migrer. 

A-t-il été pénalisé par le passé par de mauvais backlinks ou des contenus spammy ? Les backlinks actuels semblent-ils suspects ? 

Vous pouvez également utiliser un outil comme Wayback Machine pour voir quel était le contenu de l’ancien site (et vous assurer qu’il ne s’agissait pas d’un contenu spammy de type vente de pilules, pari en ligne, porno, etc.). 

Cela vous permet également de voir si le domaine contenait un contenu thématiquement pertinent par rapport au vôtre (si oui, c’est une situation idéale !).

6) Crawler le site

Utilisez ScreamingFrog pour explorer votre site web et obtenir un inventaire complet des URL et du contenu de votre site. Attention cependant : la version gratuite se limite au crawl de 500 URLs, et ne suffira donc pas pour les gros sites !

Ce crawl vous servira non seulement pour corriger les éventuels problèmes sur votre site test, mais aussi pour faire correspondre les anciennes URL aux nouvelles dans votre plan de redirection 301. 

Vous pourrez également déterminer le contenu à transférer et les liens internes à mettre à jour pour refléter la nouvelle structure d’URL.

7) Prioriser l’importance SEO des URLs à rediriger

Un point important, et souvent non mis en place, même par certains consultants SEO :

  • Commencez par crawler votre site pour en extraire toutes les URL qui y existent.

  • Ensuite, compilez des données sur ces URL à partir d’outils comme Majestic ou SEMRush afin d’évaluer le contenu de votre site Web qui a le plus de valeur pour les moteurs de recherche. Ce faisant, vous pouvez déterminer le contenu qui doit être mis à jour, consolidé ou supprimé.

  • Hérarchisez les URLs de votre site web afin d’optimiser principalement votre contenu le plus important lors de la migration, et ainsi espérer gagner en positions lors cette opération sur ces URLs.

8) Mettre en place un plan de redirection 301

Créez un plan de redirection 301 complet à mettre en œuvre sur votre site web, à partir d’un document Excel. 

Cela permet de garantir que les anciennes URL du site web sont correctement redirigées vers leurs nouvelles URL, et vous permet d’éviter les erreurs 404 suite à la mise en place de la migration. 

Ce document doit être parcouru avant ET après la migration, pour s’assurer qu’il n’y a pas de raté.

Pour créer votre fichier de redirection 301 dans un tableur, il suffit de créer une colonne avec vos URL actuelles, avec en parallèle une autre colonne qui répertorie leurs nouvelles homologues. 

9) Mettre à jour les liens internes

Une fois votre fichier de redirection terminé, rendez-vous sur votre site web de test et commencez à mettre à jour les liens internes afin de minimiser les redirections et les éventuels liens cassés.

Vous pouvez trouver les liens internes à l’aide de ScreamingFrog, y compris à partir de leur texte d’ancrage et des pages sur lesquelles ils se trouvent.

10) Créer une page d’erreur 404 personnalisée

Vous devez créer une page d’erreur 404 visuellement attrayante, que les utilisateurs verront lorsqu’ils rencontreront une page cassée. 

Celle-ci doit les aider à naviguer vers votre page d’accueil ou d’autres pages de votre site pour trouver ce qu’ils recherchent. 

Sur certains CMS, l’absence de page d’erreur 404 se traduit par une page blanche à partir de laquelle les utilisateurs ne peuvent pas naviguer, les incitant à quitter votre site.

11) Mettre à jour Google Business Profile (Google My Business)

Si vous modifiez votre domaine, veillez à mettre à jour le lien de votre site web vers le nouveau domaine dans Google My Business 

Il s’agit là d’un aspect essentiel qu’il faut optimiser pour améliorer votre SEO local : cela prend 2 minutes, mais c’est primordial !

12) Mettre à jour le sitemap XML

Assurez-vous que toutes vos nouvelles URL sont prises en compte, et créez un nouveau sitemap XML qui peut être joint à votre site web (https://www.votresite.com/sitemap.xml), puis téléchargez-le dans votre Google Search Console.

Sitemap du site mateoponta.com
Sitemap de mon site

Ce document aide Google et les autres moteurs de recherche à trouver vos pages produit, vos articles et plus généralement l’ensemble des URLs de votre site, afin de les indexer et de les faire apparaître dans les pages de résultats organiques. 

Faites-le dès que votre site est mis en ligne, car Google remarque rapidement ces changements, et il est essentiel de bien indexer vos pages pour que le trafic afflue vers elles !

13) Indiquer à la Google Search Console le changement de domaine

Si vous mettez à jour votre nom de domaine, assurez-vous d’utiliser la fonction de changement d’adresse dans la Search Console de Google

Vous indiquerez ainsi à Google que vous avez changé de domaine et qu’il est accessible à l’adresse URL du nouveau domaine. 

Vous devez effectuer cette opération dès le lancement de la migration de votre site web.

14) Mettre l’accent sur l’UX mobile

La création d’un site web adapté aux mobiles, qui s’affiche correctement sur différents appareils et navigateurs, garantit le bon classement de votre site web dans les résultats de recherche. 

Lors de la migration, assurez-vous que les changements d’UX et de design sont adaptés à la navigation sur smartphones !

15) Migrer ou ajouter des balises schema.org

En 2011, les principaux moteurs de recherche tels que Google, Bing, Yandex et Yahoo! ont créé un ensemble commun de possibilités de balisage des données que les webmasters peuvent utiliser pour aider les robots d’indexation à disposer de plus d’informations sur une page web. 

Ce balisage collaboratif est appelé Schema.org.

Le balisage Schema permet la mise en place d’extraits optimisés (qu’on appelle rich snippets), disponibles directement sur la SERP. Voici un exemple : 

Exemple de rich snippet
Encadrés en rouge, les extraits optimisés relatif au film 2001, l’odyssée de l’espace

Je vous recommande chaudement de les mettre en place sur votre site, que vous soyez en pleine migration ou non. Ils permettent notamment une augmentation du taux de clic, qui fait partie des facteurs permettant d’améliorer votre référencement naturel.

Si vous disposez de balises schema.org sur votre site web, incluez-les dans votre migration, en faisant un copier/coller dans le corps du texte, ou en utilisant un plug-in comme Yoast ou Jooma, sur WordPress. 

16) Mettre à jour le fichier Robots.txt

Un fichier robots.txt indique aux robots des moteurs de recherche les pages ou les fichiers auxquels ils peuvent accéder sur votre site

Il se trouve généralement à l’adresse www.votresite.com/robots.txt. 

Robots.txt du site mateoponta.com
Fichier robots.txt de ce site web

Ce fichier doit être mis à jour suite à la migration, afin que Google sache quelles parties de votre site Web doivent être explorées ou non. 

Si vous le souhaitez, ajoutez-y également l’URL de votre nouveau sitemap XML, afin que Google et les autres moteurs de recherche puissent le trouver.

Enfin, soumettez l’URL de votre fichier robots.txt à la Google Search Console afin qu’il sache qu’elle existe et qu’il puisse l’explorer.

17) Mettre à jour les backlinks

Il ne fait aucun doute que votre ancien site Web a des liens externes (=backlinks) pointant vers lui ! Il serait dommage de perdre ces liens… 

Pour cela, allez dans votre Search Console, ou utilisez Majestic pour voir quelles pages collectent des backlinks

Contactez ensuite les sites web qui vous font des liens, et demandez leur de mettre à jour ces backlinks afin d’en garder le jus. 

Cela prendra certainement beaucoup de temps : je vous recommande de missionner quelqu’un pour suivre ces backlinks, s’assurer que chaque site joue le jeu et effectuer un reporting régulier. Un consultant SEO peut parfaitement s’en occuper !

A lire également : Trouver de bons backlinks : mon guide

18) Garder le contrôle de votre ancien domaine

Gardez le contrôle et la propriété de votre ancien domaine afin de vous assurer que tous les backlinks qui pointent vers lui sont redirigés correctement. 

Si vous abandonnez ce nom de domaine, quelqu’un d’autre pourra l’acheter et créer un site, afin de bénéficier de son ancienneté et des backlinks toujours existants.

Mieux vaut donc continuer à payer une dizaine d’euros par an pour conserver son nom de domaine !

19) Effectuer un audit SEO avant et après la migration

Avant et après la migration et le lancement de votre site web, je vous recommande fortement d’effectuer un audit SEO pour confirmer que toutes les pages, le contenu, les liens, les balises ou encore les éléments mobiles sont bien mis en place. 

Ce point technique rapide vous permettra d’identifier les éventuels problèmes qui existaient avant la migration, et de voir s’ils ont été réglés, comme prévu, suite à la migration.

L’audit permettra de soulever notamment les problèmes suivants : 

  • URLs cassées (4xxs)
  • Redirections (3xxs)
  • Liens images cassés
  • Balises meta manquantes (meta title, meta description, …)
  • Contenus en doublon
  • Absence de balises canoniques ou balises canoniques incorrectes
  • Pages en NoIndex

L’audit SEO permettra également de faire un point sur votre contenu, de déterminer une stratégie de référencement naturel cohérente ou encore de faire un point sur votre netlinking, afin de poursuivre vos progrès en matière de SEO suite à la migration.

Absolument indispensable, donc !

20) Mesurer les performances après le lancement

La migration ne s’arrête pas lorsque l’on appuie sur le bouton “Publier” ! 

Après avoir effectué toutes les étapes précédentes, assurez-vous que les pages reçoivent du trafic organique, surveillez les mesures d’engagement et vérifiez la vitesse de vos pages sur différents appareils et navigateurs.

En outre, surveillez soigneusement vos mots-clés et leur visibilité organique : 

  • Performances en matière de classement
  • Trafic organique
  • Indexation des pages
  • Backlinks

Enfin, jetez régulièrement un oeil aux erreurs 404 qui auraient pu apparaître sur votre Google Search Console.

N’oubliez pas : la migration doit être bénéfique pour le SEO !

J’en profite pour vous rappeler que si vous avez besoin de conseils pour votre migration ou que vous êtes à la recherche d’un consultant SEO en freelance pour vous aider à la mettre en place sans nuire à votre SEO, je suis votre homme ! 

FAQ : Migration SEO


Quelle est la durée d’une migration SEO ?

Réponse classique de la part d’un consultant SEO :  ça dépend !

La durée d’une migration SEO dépend principalement de la taille de votre site web, de la quantité de contenu que vous déplacez et des vérifications à faire au préalable et à posteriori en matière de SEO. 

Pas la peine de vous faire un dessin : un site web de 100 pages prendra beaucoup moins de temps qu’un site web de 1 000 pages, qui prendra beaucoup moins de temps qu’un site web de 50 000 pages, et ainsi de suite. 

Certaines migrations SEO nécessitent un mois de préparation et d’exécution, tandis que d’autres prennent trois mois ou plus

Il est important de se donner suffisamment de temps pour planifier, mettre en place les outils de suivi, auditer le site puis mettre en œuvre les recommandations.

Combien coûte une migration SEO ?

Le coût d’une migration SEO dépend de la taille du projet. Il dépend du type de migration que vous effectuez, de la quantité de contenu que vous devez migrer et développer, du nombre de redirections 301 à mettre en place, de la taille globale du site web, des changements et améliorations à apporter ou encore de votre ressource humaine dédiée à ce projet en interne.

Quoi qu’il en soit, opter pour un expert en référencement qui a déjà eu l’occasion de migrer un site web en tenant compte du référencement est indispensable. J’en profite donc : si vous souhaitez réaliser une migration de votre site, n’hésitez pas à prendre contact avec moi pour que nous en discutions ! 

Il est toujours mieux d’investir d’emblée dans une migration SEO correcte plutôt que d’opter pour une solution “bon marché” et d’avoir à revenir en arrière et à corriger les problèmes à plusieurs reprises, ce qui aurait pour effet de freiner (ou pire, de faire chuter) vos performances organiques.

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